Face au PS, l’alternative nationale

31 août 2013

Temps de lecture : 10 minutes

Châteaurenard (13) – 31/08/13 – Discours de Francis Bocquillet, Université d’été 2013

Dans le temps qui m’est impar­ti, je vais essay­er de vous démon­tr­er que les propo­si­tions de notre mou­ve­ment poli­tique, peu­vent et doivent être une alter­na­tive à la gou­ver­nance social­iste, et même à la soi-dis­ant droite, qui n’a plus de droite que le nom, telle­ment son dis­cours est imprégné de valeurs de gauche. Même le par­ti, auquel nous avons pour cer­tains appartenu, est lui même pol­lué par des idées gauchisantes, et prônées par sa présidente.

Alors chers amis, je vais essay­er de vous démon­tr­er que face à la social­i­sa­tion de notre pays, il y a une alter­na­tive crédi­ble : le pro­gramme pro­posé par le MNR, un pro­gramme issu du bon sens et le prônant.
Con­cer­nant les retraites, par exem­ple, nous avons enten­du toutes les absur­dités pos­si­bles, de la part du pou­voir et de ceux qui font sem­blant de s’y oppos­er, ou en tout les cas, qui s’y opposent très mal.
En effet, per­son­ne ne pense à s’at­ta­quer aux racines du mal, à la cause du déficit chronique de nos régimes de sécu­rité sociale. Seul le MNR pro­pose une alter­na­tive crédi­ble, facile à met­tre en place, et pérenne , à savoir : la Con­tri­bu­tion Sociale sur tous les moyens de paiements en France ( C.S.T.M.P ) , vous devez savoir que cette assi­ette représen­tait 28.420 mil­liards d’eu­ros en 2011 ( qua­torze fois le PIB) , il n’est pas besoin d’avoir fait sci­ence-po ou l’E­NA pour com­pren­dre qu’en prenant pour base cette assi­ette, et financer les 216 mil­liards d’Eu­ros néces­saires pour assur­er une retraite min­i­mum uni­verselle de 1200 euros par mois à 15 mil­lions de retraités ( hors com­plé­men­taires ), il suf­fi­rait d’une coti­sa­tion de 0,76%, et en con­trepar­tie comme nous sup­p­ri­mons les coti­sa­tions de retraite sur les salaires, tous les salariés voient leurs salaires aug­menter de 6,85% et leur pou­voir d’achat s’élever, puisque les employeurs n’au­raient pas le droit de dimin­uer le salaire brut. Les employeurs seraient aus­si gag­nants, puisqu’ils ne paieraient plus non plus de coti­sa­tion sociale pour financer les retraites.

Les petits retraités ver­raient aus­si leur retraite aug­menter de façon con­sid­érable puisque le min­i­mum de la retraite que nous pro­posons passerait à 1200 euros men­su­els, qui pour­rait en plus être payée le 1er du mois. Rien que l’ap­pli­ca­tion de cette mesure per­me­t­trait une relance de la con­som­ma­tion, et rendrait nos entre­pris­es plus com­péti­tives à l’export.

Il con­viendrait aus­si d’asseoir, le finance­ment de notre régime d’as­sur­ance mal­adie, sur ce principe, ce qui per­me­t­trait alors d’aug­menter les salaires de nos com­pa­tri­otes de plus de 22% au total et de sup­primer 34% des charges patronales. Je vous laisse le soin d’imag­in­er les effets économiques de l’ap­pli­ca­tion d’une telle mesure :

  • meilleure com­péti­tiv­ité de nos entre­pris­es à l’export ;
  • aug­men­ta­tion immé­di­ate du pou­voir d’achat des act­ifs et des retraités ;
  • diminu­tion, voir, érad­i­ca­tion du tra­vail au noir ;
  • arrêt des délo­cal­i­sa­tions et même le retour d’en­tre­pris­es ayant délocalisé ;
  • réduc­tion du nom­bre de fonc­tion­naires au min­istère des finances et à l’URSSAF.

Con­cer­nant les retraites des étrangers qui ren­trent au pays, nous devons imag­in­er une autre forme de verse­ment des retraites. Ces per­son­nes pour­raient recevoir un cap­i­tal au lieu d’une rente, charge à celles-ci de trans­former ce cap­i­tal en rente dans le pays où ils pren­nent leur retraite. Ce qui évit­erait que la France verse des retraites à des per­son­nes décédées depuis de nom­breuses années.

Ces mesures ne devraient pas empêch­er bien sûr la réforme de notre sys­tème de pro­tec­tion sociale, néces­saire pour engen­dr­er des économies et asséch­er les pom­pes aspi­rantes, qui per­me­t­tent d’at­tir­er chez nous les pau­vres du monde entier.

En matière économique il s’a­gi­ra aus­si de sup­primer la TVA inter-entre­pris­es, de façon à redonner de la tré­sorerie à nos entre­pris­es. Cela ne coû­tant rien à l’É­tat, au con­traire puisque des économies en matière de con­trôle fis­cal pour­ront être faites.

Vous voyez chers amis, il n’est pas néces­saire de remet­tre des fron­tières autour de la France, de nous repli­er sur nous même comme le pro­posent cer­tains, pour sauver notre économie, Ceux-là ne pro­posent que des mesures inspirées du social­isme. Des propo­si­tions nationales, mais social­istes, une fausse bonne idée.

Bien enten­du, pour amélior­er encore notre com­péti­tiv­ité vis à vis des pays non européens, il nous faut des dirigeants qui aient le courage de tax­er lour­de­ment les pro­duits qui sont fab­riqués hors d’Eu­rope, comme l’a d’ailleurs fait l’U.E pour les pan­neaux solaires fab­riqués en Chine à hau­teur de 47% . Si nous pou­vons le faire pour des pan­neaux solaires, nous pou­vons le faire pour de nom­breux autres pro­duits man­u­fac­turés. Ces tax­es venant dans les caiss­es de l’UE, pour­raient ain­si con­tribuer à réduire notre mise au pot dans les caiss­es de l’U.E.

Vous voyez qu’il n’est pas besoin d’être social­iste, pour faire le bon­heur des gens. Il suf­fit de men­er une poli­tique de bon sens, une poli­tique de droite peut être généreuse pour son peu­ple, à con­di­tion bien sûr qu’elle ne soit pas à la botte des par­ti­sans du mon­di­al­isme expan­sion­niste et destruc­teur des nations.

Nous devons aus­si pro­pos­er et met­tre en œuvre des solu­tions pour lut­ter con­tre l’ex­ten­sion de l’is­lamisme dans notre pays. La encore, il est illu­soire de croire qu’une France isolée, pour­ra com­bat­tre l’is­lamisme. Nous devons avoir l’ap­pui de l’Eu­rope toute entière , elle même visée par l’is­lami­sa­tion. Pour ma part, je pense que nous devons com­mencer par faire appli­quer les lois de la république. Prenons l’ex­em­ple de la con­struc­tion de mosquées, nous avons dans notre lég­is­la­tion, les moyens d’empêcher la con­struc­tion de mosquées sans l’in­ter­dire ! Je m’explique :

En France quand vous devez con­stru­ire un bâti­ment, quel qu’il soit, vous devez obtenir un per­mis de con­stru­ire, et pour l’obtenir vous devez respecter des règles d’ur­ban­isme, vous devez aus­si respecter le Plan Local d’Ur­ban­isme. Et dans ces doc­u­ments le maire dis­pose de toutes les armes pour lut­ter con­tre la con­struc­tion de mosquées, encore faut-il qu’il n’ac­corde pas de déro­ga­tion. Il suf­fit donc que le préfet, refuse les déro­ga­tions accordées par les maires pour que les mosquées respectent stricte­ment les règles d’ur­ban­ismes qui doivent s’ap­pli­quer à tous. Dans une république démoc­ra­tique, la loi doit s’ap­pli­quer à tous. Il en va de même pour la viande halal, la loi Française inter­dit de tuer les ani­maux sans les avoir étour­dis aupar­a­vant, alors il faut abroger les déro­ga­tions accordées pour des raisons religieuses au nom de la laïc­ité. Si cer­taines reli­gions veu­lent se nour­rir avec de la viande halal ou autre, ils doivent l’im­porter de pays où cette pra­tique est autorisée. Ce qui par ailleurs relancerait l’él­e­vage dans ces pays et évit­erait peut-être à cer­tains de s’ex­pa­tri­er chez nous. D’autre part, nous n’au­ri­ons plus besoin d’im­porter de la viande pour les nôtres ce qui rétabli­rait à coup sûr l’équili­bre du com­merce mon­di­al de la viande. Dans l’ab­sur­dité, pra­tiquée aujour­d’hui, on devrait aus­si inter­dire la vente de la viande de bœuf, sous pré­texte que les vach­es sont sacrées en Inde et que nous avons des hin­dous sur notre sol qu’il ne faut pas con­trari­er voir offenser.

En matière d’im­mi­gra­tion, là encore nous devons faire appli­quer les lois existantes :

  • 1974 : le gou­verne­ment français décide de sus­pendre l’im­mi­gra­tion des tra­vailleurs et des familles extra­com­mu­nau­taires. L’im­mi­gra­tion des tra­vailleurs reste sus­pendue jusqu’en 1977, l’im­mi­gra­tion des familles est à nou­veau autorisée dès 1975.
  • 1978 : mise en place d’un mécan­isme de retours organ­isés et for­cés d’une par­tie de la main-d’œu­vre étrangère instal­lée jusque-là régulière­ment. Les États du Maghreb sont par­ti­c­ulière­ment visés par ces mesures.
  • 1980 : loi Bon­net rel­a­tive à la préven­tion de l’im­mi­gra­tion clan­des­tine. Elle rend plus strictes les con­di­tions d’en­trée sur le ter­ri­toire, fait de l’en­trée ou du séjour irréguliers un motif d’ex­pul­sion au même titre que la men­ace pour l’or­dre pub­lic, et prévoit la recon­duite de l’é­tranger expul­sé à la fron­tière et sa déten­tion dans un étab­lisse­ment s’il n’est pas en mesure de quit­ter immé­di­ate­ment le territoire.
  • 1981 : la loi Peyr­e­fitte légalise les con­trôles d’i­den­tité à titre préventif.

Nous devons abroger toutes les autres lois votées depuis, par les gou­verne­ments social­istes ou social­isants depuis mai 1981.

Il faut ren­dre aux préfets le rôle prin­ci­pal dans les déci­sions d’ex­pul­sion. Empêch­er les recours judi­ci­aires de paral­yser le système.

Exiger des admin­is­tra­tions qui se trou­vent en con­tact avec un clan­des­tin qu’elles fassent procéder à son inter­pel­la­tion et pour­suiv­ent les per­son­nes ou les organ­ismes qui aident les clan­des­tins à se sous­traire aux autorités et qui doivent être pour­suiv­is pénale­ment. Vous avez pu remar­quer que Manuel Valls expulse les roumains, qui sont des européens, et il n’a pas peur de le faire savoir, pour prou­ver aux Français encore incré­d­ules pour cer­tains, qu’il agit con­tre l’im­mi­gra­tion clan­des­tine, mais qu’il est moins vir­u­lent, pour expulser les clan­des­tins qui vien­nent du sud de la méditer­ranée, sans doute par peur d’être taxé de racisme.

Con­cer­nant l’ad­min­is­tra­tion, nous pro­posons aus­si de réduire les éch­e­lons admin­is­trat­ifs, à savoir, que si des com­munes se regroupent en com­mu­nautés de com­munes, l’ad­min­is­tra­tion doit se faire par les fonc­tion­naires de cette com­mu­nauté de com­munes, les ser­vices de chaque com­mune doivent être regroupés au sein de cet éch­e­lon, les dou­blons admin­is­trat­ifs doivent être sup­primés, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

Il faut aus­si choisir entre les départe­ments et les régions, où là encore des fonc­tions se super­posent, employ­ant des fonc­tion­naires pour des tâch­es iden­tiques. Oblig­eant les com­munes à réalis­er des tas de dossiers des­tinés les uns aux départe­ment les autres à la région. Il est donc pos­si­ble et urgent de réduire le nom­bre de fonc­tion­naires dans ces admin­is­tra­tions, car ils font sou­vent dou­ble emploi, et sont à la charge de la com­mu­nauté et donc payés par vos impôts qui ne cessent d’aug­menter et paral­y­sent l’é­conomie réelle.

En matière d’é­d­u­ca­tion, il faut revenir aux fon­da­men­taux, restau­r­er l’é­cole du savoir, et revenir à l’é­cole de l’in­struc­tion nationale et non de l’é­d­u­ca­tion, car l’é­d­u­ca­tion des enfants doit rester la mis­sion prin­ci­pale des par­ents, de la famille, ce n’est pas à l’É­tat d’é­du­quer, la mis­sion de l’É­tat doit vis­er à don­ner à cha­cun l’in­struc­tion et la for­ma­tion néces­saires pour que cha­cun puisse devenir un acteur capa­ble de par­ticiper à la vie du pays.
Les pro­grammes sco­laires doivent être revus, il faut sup­primer les par­ties des pro­grammes qui ne marchent pas et revenir aux méth­odes qui ont fait leur preuve dans le passé. Un enfant d’au­jour­d’hui qui sort de l’é­cole à 16 ans, a moins de con­nais­sances qu’un enfant de 12 ans en 1945, c’est donc la preuve que le sys­tème actuel ne fonc­tionne pas, alors qu’avec les pro­grès audio­vi­suels les capac­ités d’adap­ta­tion de notre jeunesse aux tech­niques mod­ernes sont plus impor­tantes qu’au siè­cle dernier.

Il faut aus­si redonner la pos­si­bil­ité aux jeunes qui n’ont pas les fac­ultés intel­lectuelles ou qui ne souhait­ent pas faire de longues études, de se for­mer à un méti­er dès l’âge de 14 ans, comme cela se fai­sait autre­fois, mais dans un cadre amé­nagé, pour éviter les abus de cer­taines entre­pris­es. De nom­breux métiers de bouche et les entre­pris­es du bâti­ment man­quent cru­elle­ment de main d’œu­vre qual­i­fiée. Il faut redor­er le bla­son du tra­vail manuel et non nous le présen­ter comme réservé à ceux qui sont en échec scolaire.

De nom­breux ouvri­ers du bâti­ment et des métiers de bouche sont devenus des entre­pre­neurs et cer­tains ont même fait for­tune, il faut les mon­tr­er en exem­ple à la jeunesse d’au­jour­d’hui et leur démon­tr­er qu’un méti­er manuel peut aus­si les aider à réus­sir dans la vie.

Sur la délin­quance des mineurs, il faut là encore faire appli­quer les lois et ren­dre pénale­ment respon­s­ables les par­ents des méfaits com­mis par leurs enfants mineurs. Pas for­cé­ment pas des peines de prison, mais des oblig­a­tions de répa­ra­tions pécu­ni­aires des dégra­da­tions, vols et autres méfaits, com­mis par leurs enfants mineurs.

Pour éradi­quer la délin­quance en par­ti­c­uli­er à Mar­seille et pour en finir avec les règle­ments de compte entre tribus rivales et rétablir l’or­dre dans la cité phocéenne, une seule solution:

Inve­stir les cités en don­nant aux forces de l’or­dre les moyens matériels et moraux de rem­plir cette mis­sion, procéder aux néces­saires perqui­si­tions sys­té­ma­tiques et aux inter­pel­la­tions immé­di­ates, expulser en urgence tous les clan­des­tins, arrêter les caïds mais aus­si les exé­cu­tants, les défér­er et les faire con­damn­er avec sévérité en mobil­isant l’ensem­ble de l’arse­nal judi­ci­aire, en le ren­forçant par ailleurs par toutes lois nou­velles sus­cep­ti­bles de per­me­t­tre l’anéan­tisse­ment de la men­ace séces­sion­niste de la pègre des quartiers.

Con­cer­nant les pris­ons, j’ai évo­qué dans l’un des Chêne-heb­do, que ceux qui pos­sè­dent inter­net reçoivent chaque semaine, la pos­si­bil­ité de ren­voy­er tout étranger qui a com­mis un délit grave en France, soit remis aux autorités de son pays d’o­rig­ine avec le juge­ment ren­du par notre pays, pour qu’il y purge sa peine, ou une autre revue en fonc­tion de la lég­is­la­tion de ce pays. Il faudrait bien sûr préal­able­ment pass­er des accords bilatéraux avec les pays dont les délin­quants sont les plus nom­breux en France, ce qui ne devrait pas pos­er trop de prob­lème avec bien sûr la réciproc­ité. Cette seule mesure per­me­t­trait de libér­er des mil­liers de places dans nos pris­ons et du même coup faire appli­quer les peines à tous les délin­quants, même pour des petites peines, ce qui n’est pas le cas aujour­d’hui, faute de place.
Pour la sécu­rité : je pro­pose que les fonc­tion­naires de police et les gen­darmes soient assistés de secré­taires admin­is­trat­ifs issus des ser­vices de Bercy, et de l’Urssaf, dont on n’au­ra plus besoin, suite à la mise en œuvre du sys­tème de finance­ment des coti­sa­tions sociales, et à la sim­pli­fi­ca­tion de la vie admin­is­tra­tive de notre pays. Ceci aux fins de remet­tre les policiers sur le ter­rain, pour qu’ils assurent leurs fonc­tions pre­mières, pro­téger les citoyens, ce qu’il n’ont plus le temps de faire cor­recte­ment, car il sont débor­dés de fonc­tions admin­is­tra­tives de plus en plus prenantes.

Je n’ai bien sûr pas fait le tour des mesures que nous devri­ons appli­quer quand nous arriverons au pou­voir, avec d’autres dirigeants qui sont por­teurs de nos valeurs et qui mili­tent actuelle­ment dans d’autres par­tis poli­tiques. Notre mis­sion est de les rassem­bler dans un grand mou­ve­ment de droite de con­vic­tion, une droite qui ne flé­chit pas devant les doc­trines social­istes ou mol­las­sonnes, une droite fière de sa poli­tique et de ses valeurs, une droite ferme mais qui refuse l’ex­trémisme et l’a­mal­game avec des idées marx­istes, un mou­ve­ment poli­tique qui cri­tique mais aus­si, qui pro­pose des solu­tions con­formes à notre con­sti­tu­tion, à dif­férence de cer­tains qui cri­ent fort certes, mais qui pro­posent des solu­tions apparem­ment intéres­santes, mais qui ne pour­ront jamais être mis­es en appli­ca­tion, car elles ne sont pas con­formes à notre con­sti­tu­tion. Je vous rap­pelle que pour chang­er la con­sti­tu­tion il faut une majorité des 3/5ème des deux assem­blées réu­nies en congrès.

Je ne pense pas que ceux qui font des propo­si­tions non con­formes à la con­sti­tu­tion, veu­lent vous tromper mais ils se trompent car ils n’ob­tien­dront jamais, seuls, cette majorité, d’au­tant plus qu’ils refusent toutes alliances et que per­son­ne ne veut s’al­li­er avec eux. J’ap­pelle donc toutes ces femmes et ces hommes qui se recon­nais­sent dans nos valeurs et qui approu­vent notre pro­gramme poli­tique à nous rejoin­dre dans le cadre d’un grand par­ti poli­tique que nous devons con­stru­ire ensem­ble pour relever le défi de faire de la France une nation forte, dans une Europe puissante.
Une Europe dif­férente bien enten­du, de l’Eu­rope des tech­nocrates Brux­el­lois, nous sommes tou­jours pour une Europe qui rassem­ble des nations fortes, pour que l’Eu­rope devi­enne la pre­mière puis­sance mon­di­ale. Elle en a les pos­si­bil­ités si elle est bien gouvernée.

Je prof­ite de la tenue de cette uni­ver­sité d’été, pour vous inviter et à tra­vers vous, inviter tous vos par­ents et amis, à vous présen­ter sur des listes lors des munic­i­pales qui vont se tenir l’an prochain dans vos com­munes. Dans les petites com­munes, vous n’êtes pas oblig­és de dévoil­er votre appar­te­nance poli­tique, mais une fois élu, vous pour­rez dévelop­per et faire pass­er nos idées auprès de cer­tains de vos col­lègues, con­seillers munic­i­paux, le com­bat poli­tique com­mence au niveau com­mu­nal, c’est un socle impor­tant, il ne faut pas laiss­er pass­er l’oc­ca­sion qui nous est don­née en 2014. Je compte sur vous pour men­er ce com­bat et inciter votre entourage à faire de même.

Je vous remer­cie de l’at­ten­tion que vous avez portée à mon inter­ven­tion, et vous souhaite un bon appétit, ain­si qu’un bon retour dans vos com­munes respec­tives, pour com­mencer dès demain à dif­fuser la bonne parole du MNR et com­mencer à vous intro­duire sur des listes pour les munic­i­pales de l’an prochain, BON COURAGE A TOUS ! LE MNR COMPTE SUR VOUS.

Fran­cis Bocquillet

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