Les DOM victimes de la préférence immigrée
La politique mondialiste menée par les gouvernements de droite comme de gauche a prévu, au mieux, de dédier les DOM au tourisme, préférant la main d’oeuvre africaine moins chère et moins formée, à la main-d’oeuvre ultra-marine française plus qualifiée et donc légitimement plus exigeante.
Les Antillais sont les premiers à se rebeller en réaction au chômage endémique et au renchérissement de la vie consécutifs à cette politique qui n’épargnera aucun « petit Français » qu’il soit ultra-marin ou métropolitain.
Le MNR rappelle que le coût annuel de l’immigration dépasse les 36 milliards d’euros et que ces sommes colossales auraient été mieux employées à développer l’ensemble du territoire français.