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DISCOURS |
Châteaurenard - 01/09/13 - Discours de Francis BOCQUILLET
Face au PS, l'alternative nationale Université d'été 2013
Dans le temps qui m'est imparti, je vais essayer de vous démontrer que les propositions de notre mouvement politique, peuvent et doivent être une alternative à la gouvernance socialiste, et même à la soi-disant droite, qui n'a plus de droite que le nom, tellement son discours est imprégné de valeurs de gauche. Même le parti, auquel nous avons pour certains appartenu, est lui même pollué par des idées gauchisantes, et prônées par sa présidente.
Alors chers amis, je vais essayer de vous démontrer que face à la socialisation de notre pays, il y a une alternative crédible : le programme proposé par le MNR, un programme issu du bon sens et le prônant.
Concernant les retraites, par exemple, nous avons entendu toutes les absurdités possibles, de la part du pouvoir et de ceux qui font semblant de s'y opposer, ou en tout les cas, qui s'y opposent très mal...
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Châteaurenard - 01/09/13 - Discours de Bernard BRES
La décadence des valeurs Université d'été 2013
Elle est partout, il suffit d'ouvrir les yeux et de regarder autour de soi : les moeurs, nos conduites, nos attitudes devant la vie et la mort. Celle-ci nous hante depuis 1914 qui a dévasté une génération et marque la fin du monde traditionnel (chute des monarchies : Romanov, Hohenzollern, Habsbourg). Joyce disait : « ce siècle est un cauchemar dont je tente de m'éveiller ». Le mot décadence, au sens de celle d'un Etat, d'une civilisation est apparu au milieu du XVIIIe en France et en Angleterre ; Rome étant pour nous la référence (1734 Montesquieu : « Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence » ainsi que Gibbon : « Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain ») même si le temps de l'histoire est né en Grèce. On pourrait aussi citer celle des Amérindiens au XVIe, de la Chine au XIXe ou de l'Empire ottoman au début du XXe sans parler des catastrophes comme la peste noire en 1348 qui tua un tiers des chrétiens. En fait, déjà les textes sumériens attestent de la conscience du déclin de leur empire, mais le mot décadence n'existe pas en latin (c'est le verbe degenerare qui est employé par Caton l'Ancien, Cicéron « O tempora, O mores » sous la République, Juvénal sous l'Empire. La décadence romaine est citée pour la première fois par les humanistes italiens au XVe au sens de ruine, chute, déclin, corruption. La décadence est un cadeau de la modernité (liée au mot progrès vers 1750)...
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Châteaurenard - 31/08/13 - Discours de Francis BOCQUILLET
Le mondialisme triomphant ! Université d'été 2013
Nous vivons à l’ère d’une mondialisation jamais connue !
Les nouvelles technologies ont envahi notre vie quotidienne. En un peu plus d’un siècle nous sommes passés de la locomotive à vapeur à l’avion qui nous transporte de n’importe quel point de la planète à un autre en moins d’une journée. Du courrier postal qui mettait plusieurs jours à parvenir à son destinataire, nous sommes passés au courrier électronique qui arrive quasiment immédiatement, et sans l’intervention de l’homme pour le transport.
Ces nouveaux moyens facilitent le commerce des marchandises au niveau mondial.
On pourrait s’en réjouir, si cette nouvelle réalité était bien gérée, bien maitrisée, mais force est de constater que ce n’est pas le cas.
D’une part, ces nouvelles technologies servent de vecteur à un empire mondial aux ordres des puissants.
Toutes nos structures dirigeantes sont pilotées de près ou de loin par des mondialistes.
Dans cette opération de mondialisation de la planète, les Etats-Unis jouent un rôle principal, mais ils sont surtout dans les mains d’un pouvoir caché : » les banquiers de Wall Street, les dirigeants de la Trilatérale et du groupe Bilderberg...
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Châteaurenard - 31/08/13 - Discours de Roland CURTET
Immigration : l'invasion continue Université d'été 2013
Le sujet de l'immigration est invoqué depuis de nombreuses années par le camp national comme une des causes principales des difficultés de notre pays. Pourtant, il ne semble pas que nos hommes politiques au pouvoir en aient beaucoup tenu compte. C'est pourquoi, sous la présidence socialiste, il nous paraît utile de remettre encore une fois le sujet sur le tapis.
Selon la définition adoptée par le Haut Conseil à l'Intégration, un immigré est une personne née étrangère à l'étranger et résidant en France. Les personnes nées françaises à l'étranger et vivant en France ne sont donc pas comptabilisées. À l'inverse, certains immigrés ont pu devenir français, les autres restant étrangers. Les populations étrangère et immigrée ne se confondent pas totalement : un immigré n'est pas nécessairement étranger et réciproquement, certains étrangers sont nés en France (essentiellement des mineurs). La qualité d'immigré est permanente : un individu continue à appartenir à la population immigrée même s'il devient français par acquisition. A noter que cette conception correspond bien à ce que ressent la population : on voit bien que bon nombre de '' nouveaux Français '' ayant acquis notre nationalité, ne se sentent nullement attachés à notre pays.
Rappelons tout d'abord, dans ses grandes lignes, l'histoire de l'immigration en France...
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